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01 décembre 2007

Commentaires

Lamidieu

Il y aurait beaucoup de choses à dire sur le sujet et je me limiterai qu'aux points principaux. Nous avons toujours peur de ce que nous ignorons.
Dans mon entreprise l'information est toujours tres descendante. Faire de l'employé ou du client un acteur au travers de Blogs, de forums, de wikis reste toujours d'actualité. Il me semble que deux leviers sont peu exploités: La sensibilisation aux possibles du Web 2.0 par l'expérience et la construction de terrains d'expression (Ex mashups ouverts).
Mais avant tout c'est la confiance, la bienveillance et la reconnaissance collaborative qu'il faut cultiver, c'est tout un programme qui à lui seul est un autre véritable sujet. Eric lamidieu

helene frebourg

C un tres bon sujet de réflexion (comme d'hab!)

ds mon secteur agricole alimentaire vins
qui nest pas specialement en pleine forme actuellement
la fracture est assez enorme

je contaste lors de mes discusions avec mon reseau en aquitaine,
que ca parait tres loin tres loin mais en meme temps si ca peut etre un moyen de communiquer direct avec le consommateur... la ca leur ouvre les yeux en etoiles!
alors pensez bien qu'ils ont pas encore intregre le concept d'identité numérique ni meme l'idee que leurs employes ...

et je vous pas parle de ploucs au fond des montagnes...

alors ya du boulot pour faire des passerelles et rendre fluide tout ca!

a bientot donc

Emilie Ogez

Bonjour,

Il y a effectivement pas mal de méfiance du fait notamment des problèmes de sécurité engendrés par ces nouveaux moyens de travailler (quelques articles sont sortis là-dessus il y a quelques mois).

Il y a également un autre point à souligner qui est la méfiance de certains chefs d'entreprises à l'égard de structures proposant de mettre en oeuvre des outils et des pratiques de type Web 2.0. Comme c'est relativement nouveau, ils ont l'impression que ces structures profitent un peu de la situation pour faire des "expérimentations", en savoir plus...

Le troisième point selon moi, au-delà de la méfiance, est celui du retour sur investissement. La mise en oeuvre d'outils de type Web 2.0 va t'elle être aussi bénéfique et utile qu'on le dit partout.

A bientôt,

Emilie Ogez
[email protected]
http://www.savoirsenreseau.com

Emilie Ogez

Au fait, quand aura lieu le prochain Apéro 2.0 ? Histoire d'avoir une idée... Merci.

Frederic Soussin

Une modeste contribution:

http://blip.tv/file/439370

Amitiés

[email protected]

helene frebourg

bonsoir

en pleine lecture de mon ELLE, je me relève pour vous signaler l'article sur facebook page 220
malheuresement C pas avec des articles pareils que ca va faire avancer le schmilblick:
baisse de la productivite de 375 millions d'euros par jour en UK à cause de facebook...
21% entreprises francaises interdisent acces a FB
...
bref!
ca m'agace et pourtant j'aime ELLE (qui d'ailleurs la semaine derniere ds l'edito avait deja ridiculise les utilisateurs)
bref@bref! une tendance lourde?

@+

Frédéric-Michel Chevalier

Merci pour ces premières contributions. Je suis ravi de voir que le débat s'instaure. Nous ne manquerons pas de prendre vos témoignages en compte dans la préparation de notre prochaine table ronde.

Pour moi, effectivement la notion de confiance est au coeur du problème. Vous avez raison de le souligner.

Confiance en ses collaborateurs. C'est le ciment d'une équipe. Mais aussi confiance en soi (en tant qu'entreprise) pour aborder de nouveaux outils, de nouvelles pratiques.

L'entreprise doit prendre conscience des atouts que peuvent constituer pour elle les réseaux sociaux ou les blogs.Bien sûr, le salarié qui passe deux heures par jour sur Facebook pour commenter ses soirées et faire des attaques de vampires ou autres zombies, coûte à son entreprise. Mais auparavant, il téléphonait à sa familles et à ces mêmes amis (ce qui souvent coûtait en plus du temps de travail, le prix de la communication), perdait du temps à la cafet ou en discussions avec ses collègues.

Mais il y a aussi le collaborateur qui trouve des clients, des partenaires ou des fournisseurs sur Viadeo ou LinkedIn. Celui qui entretient son réseau professionnel avec Facebook, qui lui permet d'être là où il faut grâce aux nombreux "events" à caractère professionnel. De même, il y a celui qui, parce-qu'il partage une expertise intéressante sur son blog, constitue une communauté d'intérêt, échange des informations, participe à des discussions et réalise ainsi un benchmarking très utile.

Hélène, il ne faut pas jeter la pierre à l'article de ELLE. Mais simplement demander au journaliste d'essayer d'évaluer la création de valeur engendrée par le web 2.0 à mettre en regard des 375 millions d'euros par jour de baisse de productivité au Royaume Uni.

A tous : qu'en pensez-vous ?

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